PORCHER
"nous nous sommes aperçus que le vide appelait le plein"???
Madame le Maire, un conseil :
Faites déplacer cette clôture au raz de la route,
cela coûtera moins cher au contribuable.
Ce phénomène existe depuis une petite décennie
avec un coup de 70 à 100000Euros???
EPAMSA doit prendre en charge ce souci et
non les Gargenvillois et ce depuis l'achat du terrain.
LE PARISIEN
M.G. Publié le 06.08.2012, 07h00
GARGENVILLE, JEUDI 2 AOÛT.
Les abords de l’ancienne friche Porcher sont envahis par des dépôts d’immondices. (LP/M.G.)
Dans quelques années, l’ancienne zone Porcher de Gargenville accueillera des logements, des commerces et des services publics. Mais en attendant, les abords de cet ancien site industriel sont devenus un dépotoir où les ordures et les déchets divers s’entassent inexorablement.
Scène banale il y a quelques jours : entre la voie ferrée et l’entrée du terrain vague, on découvre, sur une cinquantaine de mètres, des planches brûlées, des plaques de plâtre, des gravats… Récemment, des tôles d’amiante ont même été aperçues.
La vue fait désordre et agace en mairie. « Nous avons nettoyé les lieux à plusieurs reprises. Les interventions sont facturées plusieurs milliers d’euros. Non seulement c’est laid, mais en plus c’est le contribuable qui paie. »
La ville paie plus de 2000 € pour chaque enlèvement
Chacun de ces nettoyages coûte entre 2000 € et 4000 € à la commune, transport vers un centre de tri compris. Mais chacun d’entre eux est invariablement suivi d’un nouveau dépôt d’immondices…
Du coup, Nicole Delpeuch, la maire (SE) de Gargenville, a décidé d’opter pour une stratégie originale en limitant le retrait de ces déchets. « Nous nous sommes rendu compte que le vide appelait le plein », remarque l’élue qui espère voir la fin du phénomène à la rentrée, lorsque les premiers travaux liés au programme immobilier commenceront.
En attendant, il sera sans doute difficile de savoir qui est à l’origine de ces désagréments. Certains pensent à des particuliers, d’autres à des professionnels. A deux reprises, pourtant, une fouille méticuleuse a permis de retrouver les auteurs des infractions : dans l’un des cas, il s’agissait d’une société chargée de ramasser le matériel informatique usagé à la demande d’entreprises.
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Photos d'amateur JP CHEREL
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