samedi 20 octobre 2012

LE SECOND POUVOIR...

LE SECOND POUVOIR...

Existe-t-il un second pouvoir des communes... ?

Qu’imagine-t-on d’un second pouvoir et qu’appelle-t-on second pouvoir ?
Et le second pouvoir devient-il aussi puissant qu’un pouvoir en place ?

La force d’un second pouvoir vient-elle toujours d’un excès de pouvoir, et l’acte faisant grief au peuple, est-il perçu comme un détournement moral basé sur un pouvoir abusif... ?

Néanmoins, un second pouvoir existe bel et bien, et peut dès sa source, être identifié sur une simple division d’un courant de pensée opposé, puis sur un désaccord radical, qui cheminant ses idées autour d’une population réactive et refusant des choix d’importance, peut atteindre la force d’un second pouvoir, à la seule condition de réunir et rassembler une large majorité dans un but commun, de renverser ou refuser un état de fait nuisant souvent à l’ordre public d’une ville...

Dans tous les cas d’école, des informations sincères et précises, deviennent donc une priorité absolue pour une population à bien aviser des problèmes encourus.

Ce courant revendique alors une légitimité sur ses positions distinctes, et c’est une sorte de divorce politique qui s’impose entre les responsables preneurs des décisions et le peuple devenu agacé, puis indigné sur incompréhension, par la seule force des différences d’idées. Cette force se met en place sur une confrontation de la valeur des pensées des uns et des autres, qui s’affrontent sur divers arguments d’intérêts primordiaux et pour un gain de cause vital, une séparation des deux points de vue devient alors inévitable en deux positionnements politiques et fermement identifiés au regard d’un prochain choix d’électeurs bien conscients de leur rôle crucial à venir. Curieusement et heureusement, tout finit par les urnes !

Ainsi, on peut facilement mesurer et peser, toute l’importance d’une information communale correcte, la force d’une contestation arrivée à son terme définitif, vers une montée en puissance au second pouvoir effectif.
 "seul compte le résultat de 2 ème tour"??? Des mots lourds qui  en disent long ...

L’impact des controverses amené à être tranché, divise pour longtemps n’importe quelle forme populaire et les arrêtés des déterminations parfois devenus incontournables et ratifiés, mènent régulièrement à un danger extrême grandissant. L’aboutissement du conflit, se termine couramment par une domination de la loi du plus grand nombre, le bon choix du peuple souverain, mais pas pour autant sur le sujet principal, s’il n’est pas éradiqué en bonne et due forme dans la foulée des circonstances.

Un second pouvoir, peut également se présenter par une constitution d’une très forte pression de contestataires dans un état plus ou moins latent, réunifiés autour d’une simple déception, refusant une adhérence générale d’un seul point de friction, ou plus régulièrement sur des décisions politiques soulevant un désaccord d’indignation spécifique, une pétition houleuse par exemple, ou entre autre, un brusque retournement de veste, voire une décision choquante et complètement imprévue, ou encore un manque de concertation crucial.

Dans tous les cas, s’il faut rechercher une réponse plausible sur le fond de la question, alors elle se trouve majoritairement dans les paramètres importants d’une déception générale, d’un désaccord majeur des attentes, quelquefois muté en tumulte conséquent, d’ailleurs visible ou pas, mais poursuivant son ascension sur un positionnement politique, mais pas seulement...

               Bizarre ces majuscules? On dirait la même écriture du gribouilleur de la mairie!

Pour cela, regardons ensemble les détails d’un pouvoir en place, et la possibilité d’une émergence vers une éventuelle puissance d’un second pouvoir...


On vient de voir que le second pouvoir passe obligatoirement par un ou plusieurs mécontentements d’importance, souvent requis d’une indignation populaire qui prend une importance majoritaire au fil du temps et des prises de conscience, et ces mécontentements peuvent être légitimés et rattachés à une déception fondamentale, mais ils peuvent être aussi utilisés et manœuvrés, retournés contre un idéal d’un parti politique ou une personnalité dirigeante, et une farouche adversité sur de faux prétextes et faux prétendants, peut faire chavirer bon nombre de talents émérites, étouffés, écartés, et souvent tués dans l’œuf !

Dans tous les cas, l’estimation populaire, attachée à une perceptible sensation d’avoir été lésée ou abusée, pour une chose ou une autre et dans un sens ou l’autre, est quasiment impossible à rattraper, sauf exception sensationnelle. La confiance disparaît et le peuple requérant à retrouver une justice dans la sérénité, se souviendra  pour longtemps des coups reçus !

Le pouvoir, quant à lui, doit répondre judicieusement à une demande spécifique de masse, satisfaire, contenter, améliorer, valoriser, ou combler d’une logique façon ou d’une autre, pour atteindre la demande d’une planification populaire ou la perdurer. L’attente des administrés est toujours primordiale en politique et la satisfaction de la plus grande adhérence est indispensable au bon équilibre général. Il ne peut jamais en être autrement et imposer ne va qu’un temps, juste le temps de comprendre le fond des polémiques...


Parole de Mme Delpeuch qui assure à la presse:

"C'est parce que nous en avons pris conscience seulement pendant l'étude urbaine et la concertation publique des derniers mois. 
Rien n'était prévu avant!!!"

Incroyable NON! 
Nos chers élus ainsi que le Maire ne savaient rien! Reniant ainsi leurs signatures sur écrits, et paroles de campagnes électorales; trahissant leurs électeurs par de perpétuels mensonges?
Prennent-ils les Gargenvilloises et Gargenvillois pour des pigeons ???





C’est une simple règle basée sur la logique et qui va à l’encontre de cette tradition, va au devant 
des difficultés populaires. Satisfaire le peuple, dans la cohérence et la compréhension, pour le bien d’autrui est donc un devoir d’élu et rien d’autre...

Bien gérer pour n’importe quelle population, c’est également savoir innover dans un contexte de confiance majoritaire, et cette majorité doit avoir une appartenance solidaire soudée et destinée à une idéologie commune d’envergure. Ce peut-être une protection précise, un patrimoine à sauver, une qualité de vie à préserver, une extension de survie commune, un rassemblement dans un effort commun, une sauvegarde d’un intérêt précis, un front salutaire.

Inversement, la crainte d’une intolérance repose toujours sur une déception des engagements.
Un mensonge, une manipulation, une trahison, une erreur impardonnable...

En contrepartie, ce n’est pas tant la gérance de l’argent qui pourrait faire valoir une différence efficace, non, car dans ce genre de situation extrême, c’est surtout le coût de la somme des lâchetés devant les grandes décisions, les renoncements sous forme de trahison de soi-même, la perte des valeurs associées à un cadre souhaité, qui font différence par écœurement... Evidemment on peut vaincre le peuple par la seule force des armes ou par trahison, soit..., mais on ne peut jamais mentir continuellement en mettant toujours la raison de son côté...

On ne fait pas n’importe quoi, n’importe comment, n’importe quand et n’importe où, aussi facilement qu’il est décidé sans consulté!
Ainsi naît le mécontentement générateur d’un second pouvoir, et inversement, le difficile retour d’une compatibilité d’allégeance populaire, n’existera pratiquement jamais dans ces seules conditions déséquilibrées, c’est mort et disparu à jamais ! Le second pouvoir est donc un droit de recours inversé, mais un droit de masse unique. Même diverti, le peuple réactionnaire reprend ses droits fondamentaux à un moment ou à un autre, il convient donc de penser manœuvrer sur terrain miné, pour celles et ceux voulant tergiverser le peuple!
Egalement, autant un droit d’adhésion est indispensable, un droit fondamental constructif, l’adhérence du peuple est une sorte de soupape de sécurité.
Néo et sa souris (photos JP CHEREL) 
Cette soupape de « sécurité » s’exerce à tous les niveaux de la politique, et fait partie intégrante de la démarche fonctionnelle de notre civilisation... C’est cette force de ce second pouvoir, qui transcende les moyens des solutions, qui modifie la clairvoyance des objectifs et qui permet toutes les possibilités d’obtenir un changement exceptionnel, dans des conditions toutes aussi exceptionnelles... Aux grands maux les grands remèdes, ceux qui donnent les moyens, repoussent les frontières de l’impossible, ouvrent les portes au peuple pensant... Ainsi va la grandeur des mesures devant la hauteur de la muraille à franchir...

Un second pouvoir, la formule magique ?

C’est devant l’émergence d’un danger, souvent distribué en bon discours, la bonne parole officielle, de beaux slogans, un langage qui devient l’instrument du pouvoir, un moyen de domination qui revient aux plus habiles, mais auquel à un moment donné, plus personne ne croit dans la manipulation. Cela revient à la pensée plate, et surtout pas à la force constituante d’une commune...

Ce mode de fonctionnement trop atypique, au regard d’une attente de concitoyens avertis, et en raison de la façon d’une emprise exercée, confère un droit de révocation populaire.

Dans le cadre des limites démocratiques, la question est de savoir si pour nous Gargenvillois atteints dans nos cœurs et notre qualité de vie, l’initiative DELPEUCH en deux épisodes d’action, maire en place et responsable dans les deux cas d’un bouleversement considérable, pourrait être conservé dès mars 2014, alors même qu'il n’aura jamais été adopté par le peuple ignoré et bafoué sur une décennie.
La table est dressée, le service peut commencer dès maintenant.
Mais attention! Les chaises ne sont pas bien à leur place (dont une cassée) et il y a six couverts!

Là encore, il semble y avoir une énorme hésitation des prétendants, peut-être même une contradiction, sur le simple principe d’une souveraineté du peuple ! Sans visibilité d’une initiative claire et précise, à commencer durant la prochaine campagne, où la parole serait donnée directement au peuple, une sorte de pouvoir exécutif, où le seul exercice du droit souverain de Gargenville à disposer de lui-même, devrait prévaloir par nécessité absolue, la clé de voûte d’un rassemblement retrouvé, d’une stabilité communale incontournable !

Il est temps que la commune de Gargenville, s’inspire du principe des circonstances exceptionnelles, et le cadre des limites est maintenant définitivement saturé.
Obliger la controverse, sur une autre manière de qualifier les évènements, serait la plus lourde erreur enregistrée depuis 2004 !
Finalement, la vraie réalité du second pouvoir amène au pouvoir ?

LA DEFENSE GARGENVILLOISE

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