vendredi 8 novembre 2013

LES PRISONNIERS POLITIQUES

LES PRISONNIERS POLITIQUES

La définition officielle s’explique comme suit : Un prisonnier politique, c’est une personne privée de sa liberté individuelle, notamment en raison d’une détention suite à une violation des garanties fondamentales des droits de l’homme. Ce peut-être la liberté de penser, d’expression, d’information, de réunion, d’association, de religion, de conscience...

Cependant... dans cette course mondiale au plus performant, il existe d’autres formes de « prisonniers politiques », par exemple... ceux qui obstinément persistent à refuser le véritable monde qui les entoure, indifférents à la concurrence déloyale qui ruine nos espérances.
Ce qui inévitablement se traduit par la perte de pans entiers de notre patrimoine économique.

Quelquefois également – et quel que soit le niveau du pouvoir... nous pouvons observer au sein d’une même équipe ou formation, des différents objectifs d’intérêts majeurs – ou des prises de positions qui dégénèrent en confrontations entre un « leader » et le peuple – ce qui amène à un état d’esprit plus pernicieux, plus sournois, évidemment dans ce genre de situation il n’y a pas de véritable détention, mais par contre, il peut y avoir une « confiscation »... mais celle-ci de taille – parce que nous sommes sur la sensible condition d’exercer correctement une libre pensée – et par opposition contraignante, sur une façon d’écraser toute forme de concurrence.

Ce peut-être l’imposition de l’aéroport de Notre-Dame-des-Landes, ou encore 700 logements et plus sur Porcher. Ce à quoi aurait rétorqué Arnaud Montebourg : « Tu fais chier la terre entière avec ton aéroport ».

  Écraserles autres, c’est aussi l’ivresse du pouvoir – contournant la loyauté de notre système voulu démocratiquement juste, et dans lequel le peuple dispose d’un pouvoir souverain...

« La démocratie, cette grande pourrisseuse, est la maladie terrible dont nous mourrons. (...)
Grâce à elle, nous n’avons plus conscience de la hiérarchie et du devoir, cette loi primitive et souveraine des sociétés organisées. (Octave Mirbeau 27 septembre 1896).

Bien qu’à tous niveaux des responsabilités « les prisonniers politiques » s’en défendent, n’empêche qu’ils nous rétrogradent notre vie au quotidien, ou en partie depuis 40 ans, une espèce de mode voulue d’énarques qui se traduit par le fait que : « Plus on avance et plus on recule »... donc moins on obtient de « bénéfice » du système de notre société ... pire encore... l’homme a fait des révolutions pour conquérir ce droit essentiel d’avancer, s’il en est un de le comprendre sous tous ses aspects.

Et Gargenville alors ? 


Hélas chers amis nous sommes gâtés... vraiment trop gâtés dans notre petite commune...

A notre petite échelle nous avons – non pas une formation de prisonniers politiques – non pas deux formations de prisonniers politiques – mais trois ! Pas d’énarques mais des petits monarques !
L’éclatante formation que nous connaissons par cœur, ce sont nos bons Barons, prisonniers politiques de leur propre renommée régionale, celle qui a fait les beaux jours de notre commune, et à laquelle ils ont appartenu honorablement pendant 30 ans.

Par contre, dans cet extraordinaire conflit de cette dernière décennie, ils ont joué un rôle inimaginable, le rôle d’un sabordage inouï, le rôle essentiel d’un détournement, le rôle capital de prisonniers politiques n’ayant jamais été au rendez-vous des attentes de nos concitoyens.

Nous en connaissons malheureusement le résultat aujourd’hui... On est tous des déçus... A Gargenville nous sommes tous des désenchantés... Nous y avons adhéré dur comme fer dans cette possibilité d’une continuité ! A nos Barons ils ne leur manquaient rien – absolument rien... et pourtant... Maintenant perso... chaque fois que j’apprends qu’un politique que j’apprécie vient d’être décoré... je soupire un bon coup et je me dis... Quel dommage !


Reste encore dans notre petite commune d’autres prisonniers politiques, et pas des moindres, une catégorie rare campée chez les uns et les autres, interdisant tout rassemblement. A peu de chose près, malgré 4 années de labeur, leur monde s’identifie encore à l’invention du fil à couper le beurre – leur politique : « Pas de fondamental, mais fermons les sas de sécurité et faisons des procès d’intention à qui mieux-mieux ». Tout un beau programme de valeur... Mais à ce petit jeu... qui est prisonnier de quoi et reste prisonnier de qui ?

Photo
Et puis l’apothéose pour la fin ... des prisonniers politiques victimes de leur fort intérieur et non pas des intérêts primordiaux de la commune...

Faisons les comptes... Il y a le style « Seigneur des agneaux »... Il y a les « tromperies des éléphants de rien »... Il y a les Barons... Il y a les Baronnes... Il y a les nombrilistes... Il y a des opportunistes... Il y a les illégitimes/légitimes... Il y a des caméléons... Il y a des « j’y retourne au 29e rang »... Il y a des courageux non téméraires... Il y a des « moi je veux »... Il y a des « moi ou rien »... Il y a des contorsionnistes... Il y a des équilibristes... Il y a les bonimenteurs... Il y a les mains dans les poches... Il y a les clopin-clopant... et il y a des satellites qui tournent en fonctionnant comme des dards empoisonnés.

LE TOP ! Bonne chance au rassemblement !

Le 04/11/2013/LA DEFENSE GARGENVILLOISE/Christian Pirault

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire