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La définition officielle s’explique comme suit : Un prisonnier politique, c’est une personne privée de sa liberté individuelle, notamment en raison d’une détention suite à une violation des garanties fondamentales des droits de l’homme. Ce peut-être la liberté de penser, d’expression, d’information, de réunion, d’association, de religion, de conscience...
Cependant... dans cette course mondiale au plus performant, il existe d’autres formes de « prisonniers politiques », par exemple... ceux qui obstinément persistent à refuser le véritable monde qui les entoure, indifférents à la concurrence déloyale qui ruine nos espérances.
Ce qui inévitablement se traduit par la perte de pans entiers de notre patrimoine économique.
Quelquefois également – et quel que soit le niveau du pouvoir... nous pouvons observer au sein d’une même équipe ou formation, des différents objectifs d’intérêts majeurs – ou des prises de positions qui dégénèrent en confrontations entre un « leader » et le peuple – ce qui amène à un état d’esprit plus pernicieux, plus sournois, évidemment dans ce genre de situation il n’y a pas de véritable détention, mais par contre, il peut y avoir une « confiscation »... mais celle-ci de taille – parce que nous sommes sur la sensible condition d’exercer correctement une libre pensée – et par opposition contraignante, sur une façon d’écraser toute forme de concurrence.
Ce peut-être l’imposition de l’aéroport de Notre-Dame-des-Landes, ou encore 700 logements et plus sur Porcher. Ce à quoi aurait rétorqué Arnaud Montebourg : « Tu fais chier la terre entière avec ton aéroport ».
Écraserles autres, c’est aussi l’ivresse du pouvoir – contournant la loyauté de notre système voulu démocratiquement juste, et dans lequel le peuple dispose d’un pouvoir souverain...
« La démocratie, cette grande pourrisseuse, est la maladie terrible dont nous mourrons. (...)
Grâce à elle, nous n’avons plus conscience de la hiérarchie et du devoir, cette loi primitive et souveraine des sociétés organisées. (Octave Mirbeau 27 septembre 1896).
Bien qu’à tous niveaux des responsabilités « les prisonniers politiques » s’en défendent, n’empêche qu’ils nous rétrogradent notre vie au quotidien, ou en partie depuis 40 ans, une espèce de mode voulue d’énarques qui se traduit par le fait que : « Plus on avance et plus on recule »... donc moins on obtient de « bénéfice » du système de notre société ... pire encore... l’homme a fait des révolutions pour conquérir ce droit essentiel d’avancer, s’il en est un de le comprendre sous tous ses aspects.
Et Gargenville alors ?
Hélas chers amis nous sommes gâtés... vraiment trop gâtés dans notre petite commune...
A notre petite échelle nous avons – non pas une formation de prisonniers politiques – non pas deux formations de prisonniers politiques – mais trois ! Pas d’énarques mais des petits monarques !
L’éclatante formation que nous connaissons par cœur, ce sont nos bons Barons, prisonniers politiques de leur propre renommée régionale, celle qui a fait les beaux jours de notre commune, et à laquelle ils ont appartenu honorablement pendant 30 ans.
Nous en connaissons malheureusement le résultat aujourd’hui... On est tous des déçus... A Gargenville nous sommes tous des désenchantés... Nous y avons adhéré dur comme fer dans cette possibilité d’une continuité ! A nos Barons ils ne leur manquaient rien – absolument rien... et pourtant... Maintenant perso... chaque fois que j’apprends qu’un politique que j’apprécie vient d’être décoré... je soupire un bon coup et je me dis... Quel dommage !
Reste encore dans notre petite commune d’autres prisonniers politiques, et pas des moindres, une catégorie rare campée chez les uns et les autres, interdisant tout rassemblement. A peu de chose près, malgré 4 années de labeur, leur monde s’identifie encore à l’invention du fil à couper le beurre – leur politique : « Pas de fondamental, mais fermons les sas de sécurité et faisons des procès d’intention à qui mieux-mieux ». Tout un beau programme de valeur... Mais à ce petit jeu... qui est prisonnier de quoi et reste prisonnier de qui ?
Et puis l’apothéose pour la fin ... des prisonniers politiques victimes de leur fort intérieur et non pas des intérêts primordiaux de la commune...
Faisons les comptes... Il y a le style « Seigneur des agneaux »... Il y a les « tromperies des éléphants de rien »... Il y a les Barons... Il y a les Baronnes... Il y a les nombrilistes... Il y a des opportunistes... Il y a les illégitimes/légitimes... Il y a des caméléons... Il y a des « j’y retourne au 29e rang »... Il y a des courageux non téméraires... Il y a des « moi je veux »... Il y a des « moi ou rien »... Il y a des contorsionnistes... Il y a des équilibristes... Il y a les bonimenteurs... Il y a les mains dans les poches... Il y a les clopin-clopant... et il y a des satellites qui tournent en fonctionnant comme des dards empoisonnés.
LE TOP ! Bonne chance au rassemblement !
Le 04/11/2013/LA DEFENSE GARGENVILLOISE/Christian Pirault
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