dimanche 9 mars 2014

LE MÉRITE DES SUFFRAGES...

LE MÉRITE DES SUFFRAGES...

LE TEMPS DE LA FORCE EST DÉSORMAIS COMPTE...
A deux semaines des élections municipales, les enjeux sont sans précédent... De graves soupçons pèsent sur les décideurs. Sans 2ème pont, sommes-nous au cœur d’un scandale communal et régional ? Objectivement, tous les éléments convergent à le penser ! C’est pourquoi également, dès le 1er tour nous proposons un référendum décisionnel en juin 2014 – ce qui dans une 1ère étape, figerait immédiatement toutes les décisions actées ou non, puis dans un 2ème temps, permettrait d’analyser comment ces « jugements entre élus et aménageurs», ont abouti à ignorer les énormes difficultés de la circulation, dont l’existence est quotidiennement démontrée sur le franchissement de la Seine depuis des années – ceci étant,c’est pourquoi notre association a déposé plainte le 14/08/2013 devant le Procureur de la République, notamment pour soulever l’essentiel des principaux sujets d’inquiétudes, quant à la manière d’exercer le pouvoir sur des initiatives portant à 700 logements, puis à 1000, sans jamais l’aval de la population.



A Gargenville, la certitude d’une dégradation supplémentaire porte maintenant sur le risque de la réalisation pour 2019, de 1000 logements sans infrastructures, ce qui rend inassurable un nouvel afflux d’environ 2500 véhicules. Un réexamen sur la cohérence des décisions est à l’heure actuelle obligatoire, précisément sur la portée des risques allégués et en vérité non concluants par rapport aux résultats des études. Pour notre formation, cela vise un autre niveau de protection à élever : « L’homme a un droit fondamental à des conditions de vie satisfaisantes, dans un environnement dont la qualité lui permet de vivre dans la dignité et le bien-être. » Avec ces décisions entre élus et aménageurs, c’est tout le contraire qui s’est passé !

Ce principe de précaution ne peut être invoqué que dans l’hypothèse d’un risque justifié, et nous observons que c’est bien le cas à Gargenville ! Sans ce 2ème pont, les conditions préalables sont remplies d’effets additionnels potentiellement négatifs à tous points de vue, notamment par la précipitation sur un mandat réduit à 4 années, d’acter dans l’urgence un programme politique sur convention 2007, mais sans jamais tenir compte des conditions solennelles d’améliorer les conditions de vie des générations présentes et à venir. Ainsi pour décider d’un plus grand nombre de logements – mesurables actuellement dans le rapport du PLU (1000 en 2019), les effets négatifs sur les populations concernées (Gargenvilloise et régionale), ne sont plus une priorité comme précédemment annoncé.


Chardonneret élégant
Le moins que l’on puisse dire, l’épisode Delpeuch a de quoi inquiéter les habitants de la région. Longtemps les sensibilités n’étaient pas prêtes, le pourrissement a subsisté dans cette sale histoire de faillite communale, pourtant comptablement démentie par la CRC – cette odieuse rumeur a permis ce retour au pouvoir hyper-destructeur – mais s’en est suivie une telle outrance de décisions entre élus et aménageurs, que le spectacle donné accorde finalement le discrédit et le dégoût, dans cette affaire, tous les ingrédients d’un scandale régional sont réunis.

LE BAL DES FAUSSES PROMESSES A qui peut profiter une telle politique d’impositions ? 1000 logements sans 2ème pont et avec des nuisances routières déjà exécrables ! Certainement pas aux Gargenvillois ni aux automobilistes régionaux. La thèse du complot est discutable, notamment sur la prestation inouïe par proximité extrêmement gênante entre élus et aménageurs, concernant précisément cette mystérieuse « faveur » décidée en conclusion de la concertation publique des 6,7 hectares – qui miraculeusement s’est trouvée étendue à 11,6 hectares, c'est-à-dire le passage en force, de 300 et 700 logements. Sur fond de l’affaire, les faits sont incontestablement
avérés, ça fait froid dans le dos, ce n’est pas scandaleux, c’est monstrueux, parce que tout le monde y passe dans cette majorité à 27%, celle qui s’est toujours distinguée des Gargenvillois par ses continuelles contraintes redoutables et excessives.

au temps de la fronde 2010 la 4ème place
Gargenville a maintenant besoin de grandeur, de vérité, de réalité, d’efficacité !
C’est pourquoi nous préférons à ces méthodes venues d’un autre âge, que ce soit les électeurs qui décident par référendum décisionnel des intérêts de leur propre ville.


Voici arrivés les derniers instants qui nous restent de méditation – les derniers jours – ceux qui nous permettent vraiment d’aboutir à une plus juste réflexion – le moment de tout se remettre en mémoire sur les authentiques enjeux de la commune... comprendre l’intensité des dangers qui nous guettent – mesurer quelles sont les grandes craintes
de l’opinion publique à dissiper dans l’urgence – en primordial, ce qui préoccupe l’électorat dès demain – c'est-à-dire, ce qui n’a jamais été respecté sur la loi fondamentale de la démocratie à Gargenville. 

reverrons-nous ce type de tract (2001) Jean LEMAIRE?



Cette loi fondamentale de la démocratie – la souveraineté populaire – qui est la volonté sacrée du suffrage universel – ce faisant – ce droit de vote qui permet aux citoyens d’exprimer leur volonté en connaissance de cause – par juxtaposition – en 2007 – nos élus eux... savaient sous le mandat 2001, majorité/opposition confondues dans cette convention d’octobre 2007, quels étaient les authentiques enjeux politiques sur les obligations morales du pacte solennel qui lie l’élu à sa ville, cette protection Gargenvilloise, trentenaire en droit civique sur 6 contrats accordés par renommée préservatrice entre deux pôles conséquents des années 60, que sont Mantes la Jolie et Les Mureaux, devient en l’espèce un sacrilège communal irréparable. Telle est la raison de notre véritable combat Gargenvillois, l’atteinte par le sacrilège abjecte !

Lorsque vous voterez dimanche 23 mars, dans l’isoloir, entre vos mains, c’est la question de la souveraineté que vous disposerez dans votre enveloppe, par ce geste, vous engagerez ce pacte solennel qui lie l’élu à sa ville, d’un simple bulletin, cette démarche sera vôtre... mais pas seulement... parce que chaque conscience humaine devra également peser cette voie du référendum décisionnel – jusqu’alors fermée à votre jugement et sans le moindre respect de la vie collective de notre ville. Les plus grandes questions immoralement imposées à Gargenville, doivent être tranchées par ce chemin référendaire, et cela relève de votre seul pouvoir de le mesurer à cet instant décisif, seul(e) dans l’isoloir, mais communautaire dans l’essentiel et salutaire à tous.


les pièges de la circulation en 2010 devant un cabinet libéral
DIVERSION ET CYNISME POLITIQUE... Demain, grâce à vous, cette manière d’asséner les mensonges, cette vieille habitude de couillonner les Gargenvillois, sera nous l’espérons révolue ! Majorité/opposition confondues ont répondu aux exigences de l’OIN en septembre 2007, cette affaire d’unanimité prend toute son ampleur et doit revenir sur le devant de la scène, au moment même, où vous voterez pour défendre les vrais intérêts de votre ville.
C’est une question d’ordre et d’ordre moral, plus encore de respect dû à M. André Samitier !



LE/08/03/2014/LA DÉFENSE GARGENVILLOISE/Christian Pirault

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